Neuroscience and brain plasticity/Neuroscience et plasticité cérébrale

Neurosciences teach us of the way the brain works. One of the most stricking discovery has to do with the plasticity of the brain. Areas of the brain have specific tasks but then in case of major injuries such as a stroke, those specific task areas can rearrange to accomodate functions that are essential to sustain the life while still be functional in those areas it specialises in.
A good example of this has been documented in a program called The Nature of Things on CBC Television last year (Available on YouTube in 4 parts).
It is also very interesting to look at brain scans to see areas that are at work for a specific task, such as meditation, prayer, etc. I would argue brain activity maintained by a desire to learn helps one to stay in good health. I would go further by suggesting positive thinking is essential, though there might be zillions of reasons out there not to be that positive. It will just not help one’s life expectancy to reason negatively on the long run. If the brain is able to re-orginize itself under any circumstances, one can argue we too have to counsciously find strategies to re-organize the way we think in order to survive. Or at least function. (Til the planet will reject us as being too stupid)
The Brain That Changes ItselfNorman Doidge, M.D., The Brain That Changes Itself, Pinguin, 20
To give an example of this brain plasticity that is also found in other animals, I listened the other night to a testimony by York University philosopher Stuart Shanker about an encounter with Bonobos, the apes that are said to be closest to human beings in most aspects, including cognitive. Shanker was given the mandate to prove wrong a researcher who wanted to publish a paper in a linguistic periodical, pretending Bonobos had linguistic capacities. Shanker was up for a big surprise, for instead of being able to prove her wrong he in fact had to admit she was right, along with a linguist whom he brought along with him for that « inspection ». I could also argue most animals have this capacity to communicate to one another and to us if we pay attention. In order to communicate and be understood a form of language or common code is necessary and we just have to observe it on other if we are so evolved…
Ideas, Neuron Therapy (Program site), March 12, 2010
The fact of the matter here beyond and above what Shanker found out and lead him to an entire new venture into autism, is that in order to advance in our sociopolitical landscape, we have to evolve. This evolution happens but too often through staggering trial & errors results, leading us sometimes to catastrophic results such as the superiority of a race over another as the XXth century has give us some pathetic examples.

§ § §

Les neurosciences nous enseignent la façon dont le cerveau fonctionne. L’une des découvertes les plus étonnantes a trait à la plasticité du cerveau. Des régions du cerveau ont des tâches spécifiques mais en cas de blessures majeures, tel un ACV, ces régions à tâches spécifiques peuvent se réorganiser afin d’accomoder des fonctions qui sont essentielles pour maintenir la vie tout en maintenant leurs spécialisations.
Un bon exemple de cela a fait l’objet d’une émission de The Nature of Things à CBC l’an dernier (disponible sur YouTube en 4 parties)
Il est aussi très intéressant de visualiser des scans du cerveau pour y voir les régions qui sont actives à diverses tâches, telle la méditation ou la prière, etc. J’avancerais que l’activité cérébrale maintenue par un désir d’apprendre aide à rester en santé. J’irais plus loin en avançant que la pensée positive est essentielle, bien qu’il puisse y avoir des zillions de raisons de ne pas l’être. Il ne sera d’aucune aide pour l’espérance de vie de raisonner négativement à long terme. Si le cerveau est en mesure de se réorganiser en toutes circonstances, on peut concevoir que nous aussi devons trouver des stratégies pour réorganiser la façon dont nous pensons pour survivre. À tout le moins pour fonctionner. (Jusqu’à ce que la planète se débarasse de nous comme étant trop stupides 🙂
Norman Doidge, M.D., The Brain That Changes Itself, Pinguin, 2009
Pour donner un exemple de cette plasticité qui est aussi présenté chez les animaux, j’ai écouté l’autre soir un témoignage de Stuart Shanker, philosophe de l’université York qui relatait sa rencontre avec les bonobos, les singes que l’on considère les plus proche de l’homme dans la plupart des aspects, incluant le cognitif. Shanker avait le mandat de démontrer la fausseté d’une thèse soutenue par une chercheure qui voulait publier un papier dans un périodique de linguistique, prétandant que les Bonobos avaient des capacités linguistiques. Il en fut quitte pour une surprise de taille, car au lieu de la désapprouver, il constata qu’elle avait raison, tout autant que le linguiste qui l’accompagnait pour « l’inspection ». Je soupçonne que tous les animaux on cette capacité à communiquer les uns avec les autres et avec nous, si nous portons attention.
Afin de communiquer et d’être compris une forme de langage, un code commun est nécessaire et il ne nous faut qu’observer cela chez les autres espèces si l’on est tant évolué.
Ideas, Neuron Therapy (Site de l’émission), March 12, 2010
L’enjeu au-delà de ce que Shanker a découvert et admis et qui le dirigea lui vers des recherches sur l’autisme, c’est que pour faire en sorte d’avancer dans nos territoires sociopolitiques, il nous faut évoluer. Cette évolution se produit mais trop souvent à la suite d’essais/erreurs au résultats effarants, voire catastrophiques, telle la supériorité d’une race sur une autre comme le XXe siècle nous l’a démontré de façon pathétique.

Une réponse à “Neuroscience and brain plasticity/Neuroscience et plasticité cérébrale

Laisser un commentaire